svp donner moi la réponse de ce devoir Dans le texte suivant, donnez la fonction des pronoms personnels soulignés . Pour tâcher de percer la brume jaune qui éta
Français
halimlilia
Question
svp donner moi la réponse de ce devoir
Dans le texte suivant, donnez la fonction des pronoms personnels soulignés.
Pour tâcher de percer la brume jaune qui était moins serrée sur les flots, Mimile descendait encore. Maintenant, nous apercevions distinctement les vagues, mais le filet impénétrable tendu autour de nous avait à peine reculé. Mimile redressa l’appareil, le mit en ligne de vol et, après un rapide coup d’œil sur sa boussole, vira sèchement. Il piquait plein est, car il fallait à tout prix retrouver le rivage, seul guide dans cette obscure immensité. Les vagues nous poursuivaient, sinistres, hérissées. Nous en étions si près que leur bruit couvrait parfois celui du moteur.
Alors, une sensation de catastrophe m’enveloppait.Et la côte vint.
Elle fut soudain devant nous, effroyablement proche, comme une muraille sur laquelle nous allions nous écraser. Ce fut alors que je le vis dans toute sa grandeur : il
travaillait de tous ses muscles, de toute son intelligence ; je ne sais par quel sens il devinait à l’avance les rafales et les prévenait.
Ses gestes soulageaient l’appareil l’économisaient. Il lui
fallait à la fois éviter les remous, suivre et fuir les falaises, raser les flots et s’y dérober, pousser l’avion et le ménager.
Moi, je regardais sa combinaison élimée, le corps qu’elle
couvrait, nous dépendions de lui. Soudain, il
tourna vers nous un sourire crispé par l’effort… Une grande paix fut en même
temps en moi. Ce sourire exténué annonçait la victoire.
Dans le texte suivant, donnez la fonction des pronoms personnels soulignés.
Pour tâcher de percer la brume jaune qui était moins serrée sur les flots, Mimile descendait encore. Maintenant, nous apercevions distinctement les vagues, mais le filet impénétrable tendu autour de nous avait à peine reculé. Mimile redressa l’appareil, le mit en ligne de vol et, après un rapide coup d’œil sur sa boussole, vira sèchement. Il piquait plein est, car il fallait à tout prix retrouver le rivage, seul guide dans cette obscure immensité. Les vagues nous poursuivaient, sinistres, hérissées. Nous en étions si près que leur bruit couvrait parfois celui du moteur.
Alors, une sensation de catastrophe m’enveloppait.Et la côte vint.
Elle fut soudain devant nous, effroyablement proche, comme une muraille sur laquelle nous allions nous écraser. Ce fut alors que je le vis dans toute sa grandeur : il
travaillait de tous ses muscles, de toute son intelligence ; je ne sais par quel sens il devinait à l’avance les rafales et les prévenait.
Ses gestes soulageaient l’appareil l’économisaient. Il lui
fallait à la fois éviter les remous, suivre et fuir les falaises, raser les flots et s’y dérober, pousser l’avion et le ménager.
Moi, je regardais sa combinaison élimée, le corps qu’elle
couvrait, nous dépendions de lui. Soudain, il
tourna vers nous un sourire crispé par l’effort… Une grande paix fut en même
temps en moi. Ce sourire exténué annonçait la victoire.
1 Réponse
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1. Réponse rictusimpra
Maintenant, nous apercevions: sujet de apercevions
autour de nous : COI
Nous en étions : COI
catastrophe m’enveloppait : COD
sur laquelle nous allions nous écraser.
sur laquelle: cc de manière
nous : sujet de allions
Il lui fallait à la fois éviter les remous,: COS car il y a un COD dans la phrase c'est à dire les remous
raser les flots et s’y dérober, pousser l’avion et le ménager. COI
nous dépendions de lui: COI
il tourna vers nous un sourire crispé par l’efforT/ SUJET DE TOURNA
ne grande paix fut en même temps en moi : ccc lieu